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Perles pour moi
19 décembre 2012
« C’est la femme aux bijoux, celle qui rend fou, c’est une enjôleuse… », œuvre impérissable de Raoul de Godewarsvelde qui parlait d’un temps où Cléo de Mérode et la Belle Otero rivalisaient de séduction tarifée et de parures ! On est presque à Noël et Le Monde comme il va vous donne une bonne adresse, celle d’une pêcheuse de perles qui se partage entre Paris et la Bretagne, Sylvie Branellec.
Savez-vous [1] que certaines reines se trouvèrent mal de devoir porter des robes entièrement rebrodées de perles ou de pierres précieuses tant elles étaient lourdes. On a même parfois installé aux ourlets un système similaire à celui des rideaux de théâtre pour leur permettre de s’agenouiller pour le couronnement ! [2].
Luxe discret
Aujourd’hui, il se passe avec les bijoux un phénomène qui rappelle ce qui est arrivé il y a quelques années avec les fourrures. Impossible de sortir dans la rue, ne parlons même pas du métro, avec plus qu’un anneau très simple ou des boutons d’oreille minuscules. Pendant trois ou quatre hivers plutôt rigoureux, j’ai laissé mon vieux renard au chaud dans une armoire, histoire de ne pas me faire insulter ou couvrir de farine et/ou d’œufs. Comme il ne ressuscitait pas et que le slogan « Plutôt à poil qu’en fourrure » ne disait plus rien à personne, je l’ai ressorti et je ne me les gèle plus à la saison froide.
Bref, même la traditionnelle bague de fiançailles, la petite pierre de couleur entourée de micro-brillants, semble too much et on a vite l’air de la maitresse ou de la femme, question d’âge, d’un oligarque Russe, cliquetant en crocodile et chinchilla le long de la rue de la Paix. Et c’est là que Sylvie Branellec intervient avec ses bijoux qui n’en sont pas mais qu’on aime à la folie.
Bijoux doux
En fait, Sylvie Branellec fait les bijoux que nous aurions aimé nous fabriquer en nous promenant le long de la plage : une perle sur un fil de nylon, toute simple, mais une perle de rêve à l’orient magnifique qui ne quittera plus votre cou. Des pendentifs et des bracelets où s’égrènent, comme sous l’effet du hasard, des perles venues des antipodes. C’est à la fois discret et irrésistible et on ne peut s’empêcher de toucher, de manipuler, de jouer, de faire rouler sous les doigts. Ce ne sont pas des bijoux pour être vue mais des bijoux un peu secrets, rien que pour soi.
Bien sûr, si vous cherchez un somptueux rang de perles gold des mers du sud, Sylvie en a aussi, et des Tahiti, et des Chine d’exception mais on adore ses créations et sa connaissance intime de ces gemmes mystérieuses.
MX
6 passage du Grand Cerf
75002 PARIS
01 42 36 06 20
06 08 05 93 12
[1] Non, vous ne le savez pas car moi je ne l’ai appris qu’hier !
[2] Non, nous ne préparons pas la suite des Habits du Pouvoir : que c’est dur d’être riche et célèbre sur l’air de "Pauvre petite fille riche" du regretté Cloclo ! La suite des révélations incroyables du Monde comme il va dans un prochaine livraison
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