SOCIETE

Mon syndic m’a tuer !

2 avril 2020


La copropriété et ses beautés cachées. Les vieux briscards de la copropriété disent : "si la propriété c’est le vol, la copropriété c’est la punition" ! Cachées pas très longtemps d’ailleurs les beautés. Dès que la vente est signée, les soucis commencent, les gros, les petits, tout ceux qui usent une personne de bonne volonté ! Exemple avec cette lettre.

Le croiras-tu ? l Avec le coronavirus et le confinement, les problèmes de syndics et de gestion de copropriété n’ont pas disparu.

Les poubelles ?

Loin de là. Exemples : qui va sortir les poubelles si le gardien - ou l’homme/femme de ménage dans les immeubles dépourvus de gardiens - reste à la maison pour garder ses enfants/est atteint du Corona/exerce son droit de retrait ?

Fuites d’eau

Même question pour ce que je constate être le problème n°1 en immeuble collectif. J’ai nommé les dégâts des eaux… Comme on ne peut guère se passer d’eau en période de confinement, il y a déjà des immeubles où un appartement inonde plusieurs étages. Et les plombiers, profession déjà très sollicitée, ne sont plus joignables/opérationnels. Ou n’ont plus accès aux matériaux et matériels nécessaires pour accomplir leur tâche…

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Prélèvement automatiques

Et puis, il y a des syndics opportunistes et roublards qui invoquent benoîtement les circonstances pour faire adopter aux copropriétaires la correspondance sans papier et le prélèvement automatique de toutes les charges. Alors que l’administration de biens est justement - de toutes les professions - celle qui ne se voit jamais privée de sa rétribution car c’est le syndic ou le gestionnaire locatif qui prélève d’office et d’autorité sa dime sur les charges payées par les copropriétaires ou sur les loyers versés par les locataires…

Bon voilà, je commence, presque à l’insu de mon plein gré, à noircir la page.

Ton amie,
Philomène Ladanse

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