Martin Berger au Grand Palais

11 septembre 2015

On s’est donc promené d’un stand à l’autre. On a ri des lièvres fous du céramiste Myungsung Kim, puisque cette année la Corée est à l’honneur. On a rêvé devant les méduses de gouttes de verre de Géraldine Gonzalez et la porcelaine JL Coquet la plus créative de toutes ! On a admiré les coffrets gainés de galuchat de Bernard Mauffret et les tables "Feuilles de nénuphar " de Georges Stahl. On a senti toute la sensibilité de la céramiste Karen Swami dont nous avons adoré les terres enfumées et le merveilleux travail de kintzugi.

On a regretté aussi que trop de choses médiocres empêchent de voir ce qui était bien mais on a tout de même découvert le travail exceptionnel de Martin Berger qui dit de lui-même qu’il est "matiériste". On va dire un plasticien, si c’est plus clair, qui crée des univers grâce à différentes techniques qui toutes se combinent pour induire le mouvement, l’énergie plus une bonne dose de zen.
Il travaille pour de prestigieux chantiers, pour des marques aussi célèbres et exigeantes que Vuitton, Hermès, Dior Parfums, Chanel, Van Cleef & Arpels et de grands hôtels.
Dernièrement, il vient de réaliser une toile monumentale de plus de 10 m2 pour le restaurant du chef Christophe Bacquié, le Monte Cristo, deux étoiles au Michelin et 4 Toques au Gault & Milau. Une toile bleue, Mare Nostrum. Et comme Martin Berger est une étoile qui monte, il a plein de projets dont nous vous reparlerons plus tard !

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